Il existe différents types de VMC, mais toutes partagent les mêmes bases de fonctionnement. L'installation se compose d'un caisson ressemblant à un gros ventilateur, placé généralement sous les combles et relié à des bouches d'extraction par l'intermédiaire d'un réseau de gaines. A ce titre, il combien de rappeler l'importance d'une bonne isolation des combles, que l'on peut financer avec les CEE isolation comble.
Grâce à des entrées d'air installées dans les pièces de vie (séjour, salon, chambres, etc.), l'air circule dans toute le logement, puis ressort par l'intermédiaire d'extracteurs installés dans les pièces humides telles que la cuisine, la salle de bains ou les toilettes. L'humidité ambiante et l'air pollué sont donc évacués au fur et à mesure : l'air est purifié en permanence et les odeurs sont neutralisées. Par ailleurs, selon l'activité, la VMC comporte deux vitesses de fonctionnement : usage courant (en continu) ou intensif (pour évacuer rapidement un excès de condensation, de la fumée ou des odeurs de cuisine).
VMC & réglementation thermique
Entretien de la VMC
Comme toute installation, la VMC requiert un nettoyage soigné et régulier, lequel permet d'optimiser son fonctionnement. Ainsi, le filtre placé dans la cuisine se nettoie-t-il une fois par mois, surtout si l'on ne possède pas de hotte d'aspiration.
Dans la salle de bains et les toilettes, les filtres sont moins sollicités et ne nécessitent donc qu'un nettoyage plus ponctuel (au moins deux fois par an). Même chose pour le ventilateur et les bouches d'aération : il faut veiller à les dépoussiérer et à les nettoyer environ deux fois par an, sans oublier de vérifier régulièrement le bon fonctionnement.